Découvrez dans cette rubrique tous les ouvrages que nous souhaitons vous partager pour que vous puissiez en apprendre davantage sur la forêt. Nous avons sélectionné des livres qui couvrent de nombreux sujets passionnants, mais nous sommes toujours prêts à découvrir de nouveaux titres ! N’hésitez pas à nous suggérer vos livres préférés sur la forêt ou tout autre sujet qui pourrait nous intéresser.
En ces temps d’inquiétude face à l’urgence écologique et climatique, où l’on déplore une déconnexion croissante d’avec la nature, il existe un moyen simple de soigner la terre et les vivants : planter un arbre, voire des arbres pour élever une forêt. Ce geste simple, si peu coûteux, apporte tant de bienfaits : tempérer la hausse des températures, contrer l’artificialisation et la désertification des sols, freiner la dégradation de la biodiversité, et enfin reprendre contact avec le monde vivant, indispensable à notre santé physique et psychique.
Une présentation des techniques pour gérer des parcelles boisées de manière durable, dans le respect de l’environnement et des hommes, à destination des forestiers professionnels ou des particuliers possédant des portions de forêts.
Comment vit une forêt ? Comment les arbres grandissent, interagissent avec le sol, le climat… ?
Ce livre magnifiquement illustré offre tous les éléments pour comprendre ce milieu de façon simple. L’auteure, spécialiste en écologie et forêt, apprend à lire les paysages forestiers.
La seconde partie, très originale, place en situation : que voyez-vous sur les photos ? Tournez la page et l’auteure vous en dévoile les secrets. Un beau livre très instructif et inédit, qui ouvre les yeux sur nos forêts.
Certains voyageurs botanistes partis un jour à la recherche de plantes inacessibles, sont revenus le sac chargé de graines et de boutures, pour créer des jardins ou l’étude côtoie le rêve.
Vous voulez donner de bonnes raisons aux enfants pour sortir profiter du grand air ? Découvrez de nombreuses activités à faire en famille en forêt et dans les espaces arborés. La forêt, un lieu d’aventures grandeur nature.
Chercher le champignon baromètre, jouer à la pétanque forestière, ausculter les arbres, partir à la recherche des lutins… La forêt est le lieu idéal pour transformer vos balades avec les enfants en épopées extraordinaires pleines de frissons et de mystères…
La seconde partie, très originale, place en situation : que voyez-vous sur les photos ? Tournez la page et l’auteure vous en dévoile les secrets. Un beau livre très instructif et inédit, qui ouvre les yeux sur nos forêts.
Destiné à tous les amoureux de la forêt, les passionnés comme les promeneurs occasionnels, ce livre, entièrement mis à jour, est un guide au cœur même de l’univers forestier.À la fois simple et didactique, il aborde de façon très imagée l’essentiel du savoir actuel sur la forêt : fonctionnement de l’écosystème forestier, rapports de l’homme et de la forêt, lien avec les grands espaces, rôle sur l’environnement, forêts du futur, importance du maintien de la biodiversité…
Le cours d’Histoire des forêts françaises de Gustave Huffel, transcrit en 1925, est publié aujourd’hui pour la première fois. Professé dans les années 1920 à la prestigieuse Ecole des Eaux et Forêts de Nancy, connu de seulement quelques spécialistes qui le considèrent à juste titre « indépassable », ce texte relate 2 000 ans de l’histoire des forêts de France. Il retrace l’évolution des essences, des surfaces, des peuplements, des modes de propriété, du droit forestier, des techniques sylvicoles et des usages des forêts et du bois. Il montre le lien entre les usages agricoles et la forêt, qui fait de celle-ci une composante essentielle de l’évolution du territoire français. Toile de fond de l’Histoire de France, avec une remarquable continuité liée à sa nature même, la forêt connut une alternance de périodes où les politiques de l’Etat visaient le long terme et d’autres où le court terme, avec ses urgences, la relègue au second plan.
Dans ce livre, Mathias Bonneau retrace, par l’image et le texte, l’histoire d’un arbre – un hêtre- depuis sa vie dans un forêt du Tarn jusqu’à sa transformation en fauteuil, à 5 km de l’endroit où il a poussé.
Mais cet ouvrage, entre carnet de bord et reportage dessiné, raconte avant tout l’histoire de quatre amis, amoureux du bois, qui se sont rassemblés autour de ce projet : un bûcheron, un scieur, un designer et un ébéniste.
Utilisant le texte et le dessin, Mathias Bonneau nous fait vivre de l’intérieur les secrets de chacun de leurs métiers, le processus créatif à l’œuvre à toutes les étapes, les contraintes et les moyens utilisés pour concrétiser leurs idées, les imprévus également…. Et l’auteur clôture avec l’intense satisfaction d’avoir réalisé un bel objet qui rend hommage à l’arbre et lui donne une seconde vie!
Créer une » forêt-jardin » (ou une » forêt comestible « ) est une nouvelle façon de cultiver des plantes comestibles en utilisant les équilibres naturels : la nature fait l’essentiel du travail pour vous ! Une forêt comestible est basée sur le fonctionnement d’un jeune espace boisé, avec une large palette de plantes cultivées à différentes hauteurs, qui demandent peu de travail du sol, de désherbage ou de contrôle des ravageurs. Les espèces sont choisies pour leurs interactions mutuelles, aboutissant à un système en bonne santé qui conserve sa fertilité tout en créant un espace esthétique et productif.
Ce livre donne toutes les clés pour créer une forêt-jardin adaptée à notre climat, quelle que soit la nature du projet : conception (selon les principes de la permaculture), conseils de plantation et d’entretien, et répertoire de plus de 500 arbres, arbustes, vivaces, annuelles, légumes et grimpantes (tous comestibles ou utiles dans l’équilibre des systèmes comestibles), et pour beaucoup, très inhabituels. Toutes les plantes présentées sont cultivables et disponibles chez nous.
Nous sommes de plus en plus nombreux à apprécier le charme et le calme d’une balade en forêt ou en campagne… Pour autant, connaissons-nous vraiment les arbres et arbustes qui nous entourent ? Apparence générale, forme des feuilles, écorce, localisation, infos utiles… grâce à ces 70 fiches d’identification, les arbres n’auront plus de secrets pour vous !
Chaque fiche est illustrée avec un dessin très précis de la silhouette de l’arbre, de ses feuilles et ses fruits…
Voici une histoire de la forêt médiévale, des forêts de France et des contrées voisines, du Ve au XVe siècle.
Une histoire qui place en regard de forêts légendaires, les forêts réelles, celles de la chasse et de l’élevage, celles du bois de chauffage et des bois de charpente utilisés dans les habitations et les cathédrales, celles indispensables à une industrie où fours, forges, verreries, salines se multiplient.
Une histoire qui rappelle comment, durant ce millénaire, les espaces cultivés s’étendent au détriment des forêts, dans quelle mesure les crises, conflits et épidémies accélèrent le processus ou le ralentissent, ou encore pourquoi il est nécessaire de créer des institutions chargées de gérer les espaces forestiers.
L’ouvrage culte pour qui aime vivre dans la nature, dans le respect de la forêt, et tout construire en bois, du plus petit objet au plus grand immeuble.
La forêt est la maison de nos plus lointains ancêtres, elle est le lieu de notre passé et nous relie à lui. Nous y retournons pour nous pénétrer de notre origine et pour en retrouver la formidable vitalité. Grâce aux récentes observations scientifiques, nous savons désormais que le monde végétal et le monde animal se ressemblent plus qu’on ne le pensait. Car les arbres sont eux aussi et à leur façon des êtres sensibles. Il importe d’assurer le développement durable des forêts et la protection de toutes les espèces, végétales et animales, qui constituent ces écosystèmes.
Un livre à la pointe des dernières recherches pour tout savoir sur les arbres du monde entier. Qu’est-ce qu’un arbre ? Comment naissent-ils et grandissent-ils ? Quels sont leurs pouvoirs ?
Une promenade inspirante au pays des arbres au travers des mystères de leurs noms.
Témoins des siècles qui passent, les arbres regorgent d’histoires merveilleuses. Saviez-vous que le séquoia, l’arbre le plus haut du monde, doit son nom à l’inventeur de l’alphabet cherokee, Sequoyah ? Que le Puy du Fou ne signifie pas « le puits du fou » mais « la colline du hêtre » ? Que le « sapin de Noël » est souvent un épicéa ? Que le mot « livre » vient du latin liber, qui désigne un tissu végétal enveloppant les troncs et qui servit de support aux premiers écrits ?
Cet atlas propose une synthèse claire et très bien documentée de l’espace forestier dans le monde. La qualité des cartes présentées et la richesse de l’information réunie en font certainement déjà un ouvrage de référence.
« Le journal que tu tiens relate mon voyage à la rencontre de tous ces arbres, connus ou discrets, cachés ou exubérants, frêles ou solides, mais toujours extraordinaires. Ces arbres, je les ai trouvés et je les ai écoutés. Ce sont leurs histoires que je te confie : fais-en bon usage ! »
Par la puissance de son réalisme, cet ouvrage procure un sentiment de proximité et d’émerveillement, et, comme l’indique Francis Hallé dans la préface, “nous voyons enfin les arbres et arbustes de nos régions comme ils sont réellement, représentés avec une précision et une sensibilité telles que leur identification
devient aisée et presque immédiate”.
Le génie de l’arbre, c’est de savoir tout faire avec presque rien, ou plutôt sans nous priver de quoi que ce soit, c’est d’agir sur tout ce qui l’environne sans s’agiter, c’est de protéger et de produire, de nous offrir une infinité de choses matérielles et immatérielles, indispensables à l’établissement et au développement de la vie dans la plupart des régions du monde.
Le génie de l’arbre, c’est de savoir tout faire avec presque rien, ou plutôt sans nous priver de quoi que ce soit, c’est d’agir sur tout ce qui l’environne sans s’agiter, c’est de protéger et de produire, de nous offrir une infinité de choses matérielles et immatérielles, indispensables à l’établissement et au développement de la vie dans la plupart des régions du monde.
« Je veux parler de ces êtres extraordinaires avec qui nous partageons la Terre, qui sont vivants comme nous mais d’une autre façon, et avec qui nous avons une relation continue à laquelle nous ne pensons pas assez souvent, tant elle nous imprègne, tant elle est profonde. Nous sommes arboricoles au fond, nous vivons avec les arbres depuis toujours. Alors plutôt que d’en faire des êtres anthropomorphes, j’ai voulu dire leur étrangeté, connue par les sciences, mais aussi notre proximité par des anecdotes qui racontent cette place familière, eux auprès de nous, nous auprès d’eux. En prenant ces deux points de vue que la littérature peut mêler, je veux rendre hommage à ces compagnons de vie, à nos colocataires de la Terre, sans qui nous ne pourrions l’habiter. »
Mystérieuse, ancestrale, sauvage ou à conquérir, la forêt fascine, effraie, attise la convoitise. La civilisation s’est construite contre, à côté mais aussi avec ces espaces largement inconnus et étranges. Lieu d’exil, de refuge et de spiritualité, terrain de chasse et de jeux, la forêt nourrit l’imaginaire. Dans le même temps, réserve de matières premières et de ressources énergétiques, les bois ont permis à la population européenne de vivre et de survivre.
Martine Chalvet embrasse le temps long, de la Gaule des Celtes aux protestations écologiques actuelles. Elle analyse les différentes facettes des paysages forestiers, mais aussi les logiques multiples et concurrentes qui se sont affrontées autour de la possession, de la domestication et de l’exploitation des territoires boisés.
Ce livre restitue l’histoire de la forêt, sa grandeur comme les menaces qui pèsent sur elle aujourd’hui.
Remplacer ce qui pollue par ce qui protège l’environnement, c’est ça, le marché de l’avenir.
Les problèmes sont connus. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des solutions. Redonner de l’espoir. Sortir du dilemme actuel entre décroissance menant au chaos social et consumérisme effréné conduisant au désastre écologique. Loin des dépenses et des sacrifices redoutés par beaucoup, Bertrand Piccard nous offre un plaidoyer original, clair et sans concession, dans lequel il expose les fondements de sa troisième voie, la » croissance qualitative « , qui réconcilie écologie et économie. Limpide et fédératrice, l’approche de Bertrand Piccard est à la hauteur de l’énormité de l’enjeu qui pèse sur l’avenir de notre planète.
La vigne n’a pas toujours été l’impeccable monoculture que nous connaissons aujourd’hui, ce végétal mené « à la baguette », attaché, taillé, épampré, effeuillé. Au contraire, de par sa nature même de liane, dès sa naissance elle s’est mariée à l’arbre pour s’élever vers la lumière. Les premiers cultivateurs, et ce jusqu’au milieu du vingtième siècle, la conduisaient le plus souvent en compagnie d’autres végétaux, arbres fruitiers complantés mais aussi arbres économiquement associés, ceux fournissant piquets, échalas, liens, bouchons, pressoirs ou barriques. Ces compagnons historiques de la vigne, chassés brutalement de l’horizon par les pratiques modernes, y sont aujourd’hui rappelés par le changement climatique et la nécessité désormais bien comprise d’une viticulture riche en biodiversité. D’autres même – fixateurs d’azote, réservoirs d’auxiliaires, contributeurs aromatiques – s’ajoutent aujourd’hui à cette palette agronomique.
Le « Mémoire sur les haies » de Pierre Joseph Amoreux est une œuvre qui examine l’importance des haies dans le paysage agricole et environnemental. L’auteur explore les avantages écologiques, économiques et sociaux des haies, mettant en évidence leur rôle dans la préservation de la biodiversité, la protection des sols contre l’érosion et la régulation du climat local. Amoreux propose également des recommandations pour la gestion et la préservation des haies afin de maximiser leurs bénéfices pour l’agriculture et l’environnement.
Les arbres ont beaucoup à nous apprendre…
Les citadins regardent les arbres comme des « robots biologiques » conçus pour produire de l’oxygène et du bois. Forestier, Peter Wohlleben a ravi ses lecteurs avec des informations attestées par les biologistes depuis des années, notamment le fait que les arbres sont des êtres sociaux. Ils peuvent compter, apprendre et mémoriser, se comporter en infirmiers pour les voisins malades. Ils avertissent d’un danger en envoyant des signaux à travers un réseau de champignons appelé ironiquement « Bois Wide Web ». La critique allemande a salué unanimement ce tour de force littéraire et la manière dont l’ouvrage éveille chez les lecteurs une curiosité enfantine pour les rouages secrets de la nature.
Il ne faut pas simplement voir les arbres, il faut les regarder. Et cela s’apprend
Face aux arbres, le premier réflexe est le plus souvent de déterminer leurs noms : est-ce un chêne, un cèdre, un ginkgo ? Il existe pour cela de nombreux guides.
Mais l’observateur souhaite généralement en savoir plus : cet arbre a-t-il fini sa croissance ? Est-il en bonne santé ? Quelle est son histoire ? Il devient alors nécessaire de ne plus simplement voir les arbres, mais de les regarder.
Partant du principe qu’on ne voit bien que ce qu’on nous a appris à observer, ce livre éduque notre regard.
Savoir interpréter une forme particulière, la présence de branches mortes, lire les écorces ou deviner la présence des racines permet en effet de comprendre les arbres, c’est-à-dire de retracer leur histoire, connaître leur état actuel et prévoir leur évolution probable.
« The Healing Power of Forests » est un livre qui explore les nombreux bienfaits que les forêts offrent à notre bien-être physique et mental. L’auteur examine comment la nature peut agir comme un puissant remède contre le stress, l’anxiété et la dépression, en mettant en lumière des recherches scientifiques et des exemples concrets de personnes qui ont trouvé la guérison en se connectant avec la nature. Le livre met en avant la thérapie forestière, une pratique japonaise appelée « Shinrin-yoku », qui encourage la contemplation et l’immersion dans les environnements forestiers pour favoriser la détente et la guérison.
A l’attention des élus et des collectivités publiques, un petit cours sur l’arbre, sa gestion, sa culture, son rôle dans la ville, afin qu’il ne soit pas menacé par l’incompétence, le souci de rentabilité, le principe de précaution, le mépris de tout ce qui vit, quand ce n’est pas tout cela à la fois. Plaidoyer pour l’arbre des rues et des parcs.
«L’Architecture des arbres» est un livre hors normes, le résultat d’une étude botanique et architecturale légendaire qui sera présentée dans l’exposition «Nous les Arbres», du 9 juillet au 10 novembre 2019 à la Fondation Cartier pour l’art contemporain.
Initialement conçu en 1982 par les architectes Cesare Leonardi et Franca Stagi, ce livre aux dimensions imposantes rassemble plus de 550 dessins de 212 espèces d’arbres dessinés à l’échelle 1/100 avec et sans feuillage, ainsi que des diagrammes de projections d’ombres, et des planches de variations chromatiques saisonnières. Il contient également 393 notices sur chaque famille, genre et espèce d’arbre illustrées par des dessins de feuilles, de fleurs et de fruits, venant compléter cette étude qui aura duré plus de vingt ans.
Comment l’État sacrifie nos forêts.
Les forêts recouvrent 31 % de notre territoire, soit près de 17 millions d’hectares. Un patrimoine considérable aujourd’hui en grande détresse : sécheresses à répétition, attaques parasitaires sans précédent, risques d’incendie de grande ampleur, mais aussi morcellement de la propriété et industrialisation à marche forcée…
À l’heure où les enjeux environnementaux et la protection de la biodiversité sont plus que jamais d’actualité, l’État a progressivement abandonné la forêt française aux seuls intérêts privés. En témoignent la faillite de l’Office national des forêts et son démantèlement organisé pour des raisons budgétaires.
Au fil d’une enquête inédite et très documentée, les auteurs dénoncent les mécanismes à l’œuvre dans la fragilisation de nos forêts et la responsabilité de nos dirigeants, qui ont fait le choix du profit à tout prix, plutôt que de la préservation de ce bien commun. Ils montrent aussi qu’une autre sylviculture, inspirée des processus naturels, est possible pour inventer les forêts de demain.
Voici l’atlas graphique d’un véritable enjeu du XXIe siècle : les forêts ! Nos réserves de CO2 et la préservation de notre biodiversité en dépendent.
Cette problématique et ses effets multiformes peuvent sembler complexe à comprendre… Ce livre explique tout cela clairement et simplement en 50 graphiques.
Les forêts sont parmi nos plus grandes sources de espoir : en tant que véritables » stockeuses » de CO2, elles ralentissent le changement climatique, car les forêts tropicales hébergent des milliers d’espèces, et si elles sont bien gérées, elles peuvent nous fournir beaucoup de ressources durables.
Et pourtant, elles sont menacées : la déforestation au Brésil, les incendies de forêt massifs en Californie et en Australie et les sécheresses en Europe, tout cela crée un véritable danger.
Avec le soutien de plusieurs scientifiques, Esther Gonstalla a recueilli de nombreuses données sur le stockage du carbone, les arbres dans leur globalité, de leurs racines à leur sommet, le reboisement… Elle les a convertis en infographies claires, limpides et précises, offrant ainsi au lecteur une compréhension des forêts en tant qu’écosystème, dans toute leur complexité… et leur richesse.
À tous les curieux, les savants, les forestiers, les historiens, les explorateurs, les activistes : ce beau livre intemporel et foisonnant vous emmène dans le monde des arbres, sous tous leurs aspects et toutes leurs richesses. Un livre à parcourir au fil de tous ses récits et ses illustrations pour se rapprocher un peu plus de ces fascinants géants, de la pointe de leurs racines à l’extrémité de leurs branches.
Après un coup de tonnerre du destin, Édouard Cortès choisit de se réfugier au sommet d’un chêne, de prendre de la hauteur sur sa vie et notre époque effrénée.
À presque quarante ans, il supprime ses comptes sur les réseaux sociaux et s’enfonce dans une forêt du Périgord. Là, dans une cabane construite de ses mains, il accomplit son rêve d’enfant.
Ce printemps en altitude et dans le silence des bois offre une lecture de la nature qui ne se trouve dans aucun guide ou encyclopédie. Afin de renouer avec l’enchantement et la clarté, l’homme-arbre doit couper certaines branches, s’alléger et se laisser traverser par la vie sauvage avec le stoïcisme du chêne.
Une éco-fiction haletante qui montre le lien entre l’Homme et la nature en s’appuyant sur le drame écologique que la société actuelle, trop connectée au cyberworld, refuse de voir.
Dans ce nouveau roman, Richard Powers embrasse un sujet aussi vaste que le monde : celui de la nature et de nos liens avec elle. Les destins des protagonistes de ce récit, un psychologue, un étudiant, un concepteur de jeux électroniques, un photographe amateur, une botaniste visionnaire, s’entrelacent autour de ce qui est peut-être le premier et le dernier mystère du monde : la communication entre les arbres. Au fil d’une éco-fiction aux dimensions symphoniques, avec au centre du récit un séquoia menacé de destruction, Richard Powers explore ici le drame écologique et notre lente noyade dans le cyber-world, et nous rappelle que sans la nature notre culture n’est que ruine de l’âme.
Cet essai est le tout premier ouvrage consacré à un mouvement qui vise à restaurer la biodiversité en transformant des espaces urbains aux sols dégradés en mini-forêts. L’autrice base son travail sur la méthode Miyawaki, une approche unique de reforestation conçue par le botaniste japonais Akira Miyawaki (1928-2021) en réponse au développement rapide du Japon d’après-guerre, et qui consiste à planter des mini-forêts sur des espaces très restreints, le plus souvent en milieu urbain ou périurbain. Ces mini-forêts poussent très rapidement et sont bien plus riches en biodiversité que celles plantées par les méthodes conventionnelles.
On a longtemps ignoré les relations qui unissent les champignons aux arbres ; pourtant, elles sont vitales pour les forêts.
En effet, si certains champignons peuvent se montrer parasites ou pathogènes, nombre d’entre eux vivent en symbiose avec les arbres, leur fournissant des nutriments essentiels et de l’eau, et leur permettant d’échanger des informations. À la mort des arbres, ce sont aussi des champignons qui décomposent et recyclent le bois, permettant la croissance d’une nouvelle génération d’arbres. Avec le changement climatique, ce sont encore des champignons qui aideront les arbres à résister à la sécheresse. Enfin, en ralentissant la décomposition du bois, certains types de champignons joueront un rôle important dans le stockage du carbone.
À travers de nombreux exemples, cet ouvrage nous dévoile le monde insoupçonné des champignons !
Une promenade inspirante au pays des arbres au travers des mystères de leurs noms.
Témoins des siècles qui passent, les arbres regorgent d’histoires merveilleuses.
Saviez-vous que le séquoia, l’arbre le plus haut du monde, doit son nom à l’inventeur de l’alphabet cherokee, Sequoyah ? Que le Puy du Fou ne signifie pas » le puits du fou » mais » la colline du hêtre » ? Que le » sapin de Noël » est souvent un épicéa ? Que le mot » livre » vient du latin liber, qui désigne un tissu végétal enveloppant les troncs et qui servit de support aux premiers écrits ?
Ce voyage au coeur des forêts, des savanes, des mangroves, mais aussi le long des rues de nos villes, va bien au-delà de l’étymologie du français, et d’autres langues d’Europe. Au fil des pages, littérature, géographie, mythologie et botanique se croisent et s’entremêlent pour nous raconter l’histoire des arbres, qui est aussi la nôtre.
L’agroforesterie, association d’arbres à des cultures ou de l’élevage, se pose désormais en alternative à l’agriculture industrielle. Ses principaux atouts sont la protection du sol, de l’eau et de la biodiversité, tout en maintenant une production agricole, et son rôle pour atténuer le changement climatique ou s’y adapter, sans oublier les multiples productions des arbres (bois, fruits, fourrage, médicaments, etc.).
Retours d’expérience et données scientifiques sont maintenant disponibles mais il n’existait pas à ce jour d’ouvrage synthétique en français sur ce sujet. Mettre cette information à la disposition d’un large public afin d’encourager cette pratique innovante et mal connue : tel est le but de ce livre, afin de susciter de nouvelles initiatives et d’aider au changement. D’une lecture facile et incluant beaucoup d’exemples, accompagné d’une riche iconographie, d’un index détaillé et de nombreuses références scientifiques, Le Livre de l’agroforesterie permettra à tous, agriculteurs, techniciens, étudiants, chercheurs ou tout simplement curieux, de découvrir cette pratique et d’approfondir leurs connaissances.
Des millions de paysans et de paysannes, notamment en Inde ou en France, expérimentent des techniques et des démarches globales qui ouvrent un espoir immense. Ces expériences témoignent que l’agriculture peut renouer avec le vivant, assurer l’accès à une eau et une alimentation saines, lutter contre la pauvreté et les inégalités, et, au-delà, devenir une source de stabilité climatique, de renaissance de la biodiversité, de régénération des sols et de production vivrière performante. Ces approches sont souvent désignées sous le terme générique d' »agroécologie paysanne », mais la militante indienne Vandana Shiva préfère les nommer « agriculture biologique régénérative », actant ainsi un retour aux sources historiques de l’agriculture bio tout en affirmant une ambition nouvelle : réparer les dommages causés par l’agro-industrie.
A travers des fiches documentées et accessibles, ce livre offre une vision globale de l’arbre comme élément central de notre planète. Il est une invitation à sortir à la rencontre de l’érable au fond du jardin, du séquoia au milieu du parc, du platane sur le boulevard ou d’une pinède en montagne. Une invitation à rencontrer les arbres de notre vie.
Ce guide richement illustré est l’ouvrage le plus complet en son genre, avec plus de 1500 espèces présentées. Pour chacune d’elles, une description précise les caractéristiques des différentes parties de l’arbre (silhouette, écorce, rameaux, bourgeons, fleurs, fruits, feuilles…) pour une identification en toute saison.
De superbes planches couleurs illustrent toutes les espèces et présentent non seulement les silhouettes, mais aussi plusieurs éléments de détails (notamment les feuilles, systématiquement reproduites). Sous-espèces, variations et espèces proches sont décrites elles aussi, pour la plupart illustrées. La clé de détermination, précise et efficace, comprend des centaines de croquis couleurs.
La collection Les Grandes Voix de la Recherche est une coédition entre CNRS Éditions et De Vive Voix Pluridisciplinaire et accessible, elle donne la parole aux chercheurs lauréats de la très prestigieuse médaille d’or du CNRS qui présentent leur discipline et leurs recherches de manière vivante et concise. Sols contaminés, eaux souillées, rejets toxiques, etc. Si la présence de polluants dans la biosphère remonte à la nuit des temps, l’augmentation de la population de la planète et l’accroissement des activités humaines ont provoqué une multiplication des cas de pollution depuis le début de l’ère industrielle. Que l’on parle de plastiques, d’hydrocarbures, de pesticides, d’arsenic… à chaque fois, le constat est le même : il est très difficile de décontaminer les sites pollués. La bio-remédiation pourrait néanmoins constituer une réponse efficace et naturelle à ce problème environnemental. Cette pratique consiste à mobiliser les organismes vivants (micro-organismes ou plantes) pour réaliser ou accélérer la dégradation des polluants, pour les transformer en substances inoffensives. Jean Weissenbach nous introduit de manière claire au fonctionnement de la bio-remédiation, et à la façon dont elle permet d’inactiver naturellement des polluants.
Voyage au cœur des forêts du monde.
Forêt. Un mot intimement lié à la notion du sauvage, puisque « sauvage » trouve son origine dans le latin sylvaticus, qui veut dire « forestier », « vivant dans la forêt ». Parler de « forêt sauvage » n’a aujourd’hui plus rien d’une tautologie, et évoque en premier lieu la sylve originelle, la forêt primaire.
Des forêts primaires, il n’en reste plus beaucoup. Massivement détruites en un temps record, elles ne représentent aujourd’hui qu’un très faible pourcentage des forêts à l’échelle mondiale, dont guère plus que des « confettis » en Europe. La nécessité impérieuse de sauver ce qui reste n’est plus à démontrer, de même que celle de recréer des forêts primaires, comme le préconise Francis Hallé. Il en va de l’équilibre écologique de notre planète et de notre propre survie.
Découvrir les forêts du monde dans tous leurs aspects et dans toute leur diversité, tel est le propos de ce beau livre, où se côtoient des arbres, des lianes, des animaux petits et grands, des fleurs, des fougères, des mousses…, tout ce qui fait la vie sauvage des forêts.
Rien n’arrête le végétal. D’un naturel accomodant, cet être vivant s’implante partout, sur les sols arides ou battus par les vents, sur les pierres des murets et même dans les interstices des villes bétonnées. Dans cet ouvrage, la botaniste méditerranéenne Véronique Mure nous invite à appréhender ce monde enraciné, à le regarder pour mieux le comprendre. Ses photos lumineuses et subtiles tracent au fil des pages un chemin botanique, poétique et surprenant. Notre œil est ravi, notre esprit aussi. Botaniste et ingénieur en agronomie tropicale, Véronique Mure est depuis plus de trente ans, l’ambassadrice de la valeur patrimoniale des jardins et des paysages à travers l’histoire des végétaux qui les composent.
N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur ce que nous vous proposons de réaliser ensemble.